La nuit étendait son voilage sur la cité, dissimulant les contours des bâtiments par-dessous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, aglutiné au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni classique ni ancestral, un riche matériel aux touches effacées par l'appor… Read More
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le conscience court, les soi moites. Son corps était invariable, mais son être restait prisonnier d’images fugaces, d'ornements incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les comprendre. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par de ce… Read More
La journée étendait son store sur la grande ville, dissimulant les contours des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, aglutiné au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni contemporain ni traditionnel, un facile appareil aux touches effacées par… Read More
La nuit étendait son étoffe sur la ville, dissimulant les contours des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni classique ni ancestral, un aisé matériel aux touches effacées par l’usage, témoi… Read More
La nuit étendait son tenture sur la ville, dissimulant les contours des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un foyers exigu, aglutiné au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni actuel ni familial, un pratique poste de travail aux touches effacées par l… Read More